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9 octobre 2014

DISHONORED

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Dishonored est un jeu racontant l'histoire de Corvo Atlano, protecteur de l'impératrice dans un monde commençant à être ravagé par la peste dans une sorte de pseudo Angleterre du XIX. Envoyé en tant qu'ambassadeur auprès de différentes contrées pour demander de l'aide, il revient les mains vides après de longues années d'absence. Il assistera impuissant à l'assassinat de l'Impératrice et au kidnapping de la fille de celle-ci. Pire encore, il deviendra le bouc émissaire de l'horrible complot et sera envoyé en détention afin d'être exécuté le plus tôt possible.

Là encore la fatalité fait son choix, un inconnu laisse avec votre "dernier repas" (un crouton rassit) une lettre et une clé - une carte sortie de prison. Après une évasion audacieuse (et suivant votre choix silencieuse ou bruyante, calme ou sanglante), vous serez amené dans un quartier pour rejoindre la "résistance". Là commencera alors votre nouveau périple : vous débarrassez des instigateurs du complot fomenté contre l'Impératrice, récupérer sa fille kidnappée et l'assoir à sa place légitime.

 

L'histoire est intéressante et sombre, plus encore suivant les choix que vous aurez à faire durant le jeu (par exemple tuer trop de personnes engendrera plus d'infestés par la peste (et je vous assure qu'à un certain niveau du jeu, on le regrette amèrement)), à vous évidemment de faire les bons choix ou simplement de poursuivre votre vengeance.

Du point de vue graphisme et gameplay, on serrait amené à le comparer un peu à BioShock (soit dit en passant c'est le studio Arkane qui est le développeur de ces 2 jeux, comme quoi la sauce Frenchie n'est pas si mauvaise).

Côté graphique, le jeu nous immerge très bien dans le style Angleterre du XIX saupoudrée des colories en rapport avec vos actes (de plus en plus sombres si vous jouez l'assassin vengeur, lumineux si vous tuez très peu de personnes).

Côté gameplay, on se trouve à la première personne avec à la main gauche les projectiles (pistolet, arbalète, grenades, ...) et à la main droite une épée. Rajoutons à cela les pouvoirs (déplacement rapide, ralentissement du temps, invocation de rats, ...) donné par le Maraudeur (Entité omnisciente déifiée de manière occulte) qui aura le rôle de guide pendant certaines scènes du jeu.

En ce qui concerne la musique, j'en suis navré - bien qu'ayant repris le jeu 2 fois - mais j'ai tellement été pris par celui ci que je n'y ai pas prêté grande attention (c'est dire).

 

Bien que trop court, c'est d'ailleurs le seul reproche que j'aurai à faire à ce jeu, il a su garder une place dans ma "petite et modeste" médiathèque.

 

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